Antigravité

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LONDRES (Reuters) - Les inconditionnels de la Guinness, qui s'apprêtent à fêter dignement la St-Patrick mercredi, vont devoir renoncer à un de leurs sujets de conversation favoris.

Les bulles de la bière brune emblématique de l'Irlande pétillent bien vers le bas.

Une équipe internationale de chercheurs a annoncé lundi avoir fait la preuve que les bulles de la célèbre bière crémeuse défient les lois de la gravité pour couler vers le bas et non remonter vers le haut.

"Notre groupe avait mené des expériences préliminaires dans un pub il y a quelques années, mais les résultats n'avaient pas été concluants", a déclaré le dr Andrew Alexander, de l'Ecole de chimie de l'université d'Edimbourg, qui a travaillé avec des chercheurs de l'université de Stanford en Californie.

Un examen approfondi a permis de montrer que lorsque la bière repose, les bulles situées le plus à l'extérieur s'accrochent aux parois du verre, ce qui ralentit leur montée. A l'inverse, les bulles au centre du verre montent librement, créant un mouvement circulaire qui pousse vers le bas les bulles restées le long des parois.




a la votre

[Kan Rit Ar Norbert]

Désolé Conejo Mexicano!!!
Mais j'avais déjà donné l'information dans le post sur la bière.....hihiihihi
vamos a la birra!!

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svini minia pajaousta

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L'effet Hutchinson met bien en evidence cette Science de l'Antigravité. De meme que l'effet Biefield Brown.

Avis aux amateurs

[Ase]

Euh je reviens en arriere pour l'effet Biefield Brown, on observe une poussée, mais on ne sait pas si c'est de l'antigravité.
En fait l'hypothese qu'il s'agisse d'un effet d'antigravité pourrait etre infondée, car on peut tres bien expliquer avec les outils de la science officielle cet effet.

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La Science explique (redécouvre) une partie de la Science des anciens:

Antigravité en mécanique quantique:

Des théoriciens en mécanique quantique, parmis lesquels S.L. Adler, Stueckelberg, Costa De Beauregard, G. Preparata et C.P. Kouropoulos, ont montré qu'il peut exister des situations où les interactions quantiques à l'intérieur d'un atome et/ou entre atomes peuvent induire un changement, voire une inversion, de masse et d'inertie.

Des expériences de laboratoire, telles que celles de Donoghue, Hutchinson ou Fran De Aquino, semblent confirmer ces prédictions théoriques. En première approximation, tout atome forme un dipôle électrique car il est composé de protons de charge positive et d'électrons de charge négative. Les atomes agissent électriquement les uns par rapport aux autres à travers différentes interactions, trop complexes pour être expliquées ici. Il s'agit des interactions électrocinétique, coulombienne et de la force de Van der Waals.

Imaginons des atomes en interaction, ils échangent sous forme d'énergie des informations sur leurs états quantiques et finissent par osciller à une fréquence commune. Leurs états quantiques sont en quelque sorte synchrones. On dit de ce système d'atomes qu'il est dans un état quantique cohérent. Suivant le principe de moindre action, nos dipôles (par nature très paresseux!) tendront à minimiser leur énergie collective en empruntant l'énergie électromagnétique virtuelle, nécessaire à leur cohérence, aux fluctuations du vide quantique. Cette interaction entre atomes est attractive car l'échange entre le vide et les atomes induit une cohérence attractive. En apportant de l'énergie au système on augmente sa température, c'est à dire que les états cohérents sont alimentés par de l'énergie réelle et non plus par l'énergie virtuelle du vide. L'effet de cohérence induit devient partiellement répulsif, réduisant proportionnellement la masse gravitationnelle des dipôles. Quand il y a autant de dipôles dans l'état fondamental que de dipôles excités (température statistique tendant vers l'infini), les masses gravitationnelles induites s'annulent.

Imaginons qu'un atome actif de température négative (au sens quantique du terme), entouré d'atomes passifs, émette un rayonnement à la fréquence fondamentale du système. La mise en cohérence d'autres atomes avec lui ne réduit plus l'énergie collective mais entraîne un état répulsif de l'atome actif. Le dipôle actif est en antigravité, sa masse gravitationnelle étant inverse. L'échange de photons réels entre cet atome et le système met l'ensemble des dipôles en cohérence d'état, donc en inversion du signe de masse. Il y a donc bien équivalence entre le signe de la température inverse et le signe de la masse, comme prédit par Stueckelberg.

A notre échelle macroscopique, deux expériences semblent confirmer cet effet. Il s'agit respectivement du système H du physicien Brésilien Fran De Aquino et de l'effet Hutchinson. Dans le système H, une antenne émet une onde électromagnétique à très basse fréquence (10mHz) dans une enceinte électromagnétiquement confinée, à très haute perméabilité et à très haute permittivité (c'est à dire à conductivité élevée). Cela ralentit la vitesse des photons dans l'enceinte.

Ainsi que le prédit la mécanique quantique, ces photons lents ne sont plus localisés à l'enceinte, leur onde évanescente s'étendant sur plusieurs centaines de milliers de kilomètres. L'onde évanescente de ces photons est absorbée et réémise par la terre (effet tunnel), y créant des états cohérents induits par l'antenne de l'enceinte. La masse gravitationnelle varie alors en fonction des photons émis et réabsorbés par la terre dans l'onde évanescente de l'antenne.

De Aquino a réussi à inverser le poids d'une boule de fer de 60Kg avec une énergie de quelques centaines de Watts. L'effet Hutchinson est obtenu en créant des ondes stationnaires pulsées avec deux faisceaux électromagnétiques convergeant sur une boule métallique. La photo montre une boule de 35kg en antigravité par effet Hutchinson. Ces dispositifs sont limités par la difficulté à générer et amplifier des ondes évanescentes, dont la décroissance avec la distance est exponentielle, contrairement aux ondes propagatives classiques. De nouvelles antennes planaires à indice de réfraction négatif devraient supprimer ce problème dans un proche avenir.





Antigravité en relativité générale:

La relativité générale d'Einstein (publiée en 1915) décrit les relations entre l'espace-temps et la distribution (ainsi que les mouvements) de la matière et de l'énergie. En relativité générale, l'espace-temps est déformé (courbé) par la matière et l'énergie qu'il contient. L'espace-temps formant une surface à quatre dimensions (trois d'espace et une de temps) les points de cette surface sont décrits par des coefficients qui sont des fonctions des points considérés. Ils forment ce qu'on appelle la "métrique" de l'espace-temps.

Afin d'unifier l'électromagnétisme et la gravitation, ce que la relativité générale d'Einstein n'avait pas fait, plusieurs théoriciens ont tenté de compléter celle-ci. Ils ont proposé, soit l'ajout d'une cinquième dimension (connexion et vecteur de jauge, Cartan-Weyl-Kaluza-Marquet), soit le changement d'un coefficient (Einstein), soit le passage à une métrique à deux composantes, symétrique et antisymétrique (fonctions complexes à valeurs réelle et imaginaire, Lichnerowicz-Schrödinger).

Alors que la relativité générale classique ne décrit qu'une gravitation monopolaire positive (la gravité attire mais ne peut pas repousser), deux théories relativistes récentes prédisent l'existence de dipôles gravitationnels (un pôle gravitationnel attractif et un pôle répulsif).

Il s'agit respectivement du modèle d'univers gémellaires de Jean-Pierre Petit (utilisant le groupe de Petit) et du modèle de Eugene Jeong dérivé de la métrique d'Alcubierre.
Ce dernier semble décrire correctement les expériences d'antigravité de Majorana, Searl, Hamel, Carr, Gulick et Jeong.

Pour comprendre le modèle de Jeong imaginons une demi sphère posée sur sa base équatoriale, son centre de masse étant à mi-hauteur. Mise en rotation dans un repère immobile, sa masse relativiste monopolaire augmente en approchant de l'équateur où la vitesse est maximale. La rotation augmente la masse effective et déplace son centre vers le bas, créant une force de poussée dans cette direction. Le sommet de la demi sphère tournant plus lentement que l'équateur, il courbe l'espace-temps en dilatant l'espace et en contractant le temps. La force répulsive (dite de Lens-Thirring) sur l'équateur génère une masse virtuelle négative sur l'axe central de la demi- sphère. La masse positive du sommet de la demi- sphère s'échappe vers le haut avec la masse virtuelle négative centrale qui "chute" dans la même direction. L'accélération de ce couple de masses dipolaire annule tout gain d'énergie cinétique, c'est à dire l'inertie. Le reste des masses dans l'univers induisant un décentrage de la force centrifuge par rapport au centre de masse statique, elles créent une accélération supplémentaire sans réaction (sans inertie), c'est à dire qu'elles annulent la troisième loi de Newton.

Sur la première figure, deux zones négativement courbées apparaissent de part et d'autre d'une sphère complète. Elles figurent sur les deux "pics " de la seconde illustration en perspective. Les deux "trous" représentent les puits de potentiel, voisins des pôles, où la masse tend à tomber. Les deux dipôles gravitationnels forment un quadripôle annulant toute accélération. Dans le cas d'une demi sphère, la disparition d'un des dipôles permet l'accélération, donc l'antigravité.

Pour que ces effets soient significatifs la vitesse de rotation doit approcher la vitesse de la lumière. Dans la pratique, la demi sphère macroscopique sera remplacée par des molécules mésoscopiques ou des atomes microscopiques en rotation sur des axes parallèles. De tels rotors peuvent être créés avec des dipôles moléculaires dans un plasma, un gaz ou un liquide. Dans un solide on mettra en co-rotation spinale des atomes électro-rotationnels, c'est à dire des atomes comprenant un nombre impair de protons et un nombre pair de neutrons.



Maintenant qu'on vous dise que ça n'existe pas ... c'est de la mauvaise foi.