Ase Membre r�gulier
Inscrit le: 01 Jan 2004 Messages: 305 Localisation: Strasbourg
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Post� le: 17 Mar 2004 19:21 Sujet du message: Antigravit� |
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LONDRES (Reuters) - Les inconditionnels de la Guinness, qui s'appr�tent � f�ter dignement la St-Patrick mercredi, vont devoir renoncer � un de leurs sujets de conversation favoris.
Les bulles de la bi�re brune embl�matique de l'Irlande p�tillent bien vers le bas.
Une �quipe internationale de chercheurs a annonc� lundi avoir fait la preuve que les bulles de la c�l�bre bi�re cr�meuse d�fient les lois de la gravit� pour couler vers le bas et non remonter vers le haut.
"Notre groupe avait men� des exp�riences pr�liminaires dans un pub il y a quelques ann�es, mais les r�sultats n'avaient pas �t� concluants", a d�clar� le dr Andrew Alexander, de l'Ecole de chimie de l'universit� d'Edimbourg, qui a travaill� avec des chercheurs de l'universit� de Stanford en Californie.
Un examen approfondi a permis de montrer que lorsque la bi�re repose, les bulles situ�es le plus � l'ext�rieur s'accrochent aux parois du verre, ce qui ralentit leur mont�e. A l'inverse, les bulles au centre du verre montent librement, cr�ant un mouvement circulaire qui pousse vers le bas les bulles rest�es le long des parois.
a la votre |
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Ase Membre r�gulier
Inscrit le: 01 Jan 2004 Messages: 305 Localisation: Strasbourg
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Post� le: 18 Mar 2005 10:14 Sujet du message: Ah bon ca n'existe pas !!! |
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La Science explique (red�couvre) une partie de la Science des anciens:
Antigravit� en m�canique quantique:
Des th�oriciens en m�canique quantique, parmis lesquels S.L. Adler, Stueckelberg, Costa De Beauregard, G. Preparata et C.P. Kouropoulos, ont montr� qu'il peut exister des situations o� les interactions quantiques � l'int�rieur d'un atome et/ou entre atomes peuvent induire un changement, voire une inversion, de masse et d'inertie.
Des exp�riences de laboratoire, telles que celles de Donoghue, Hutchinson ou Fran De Aquino, semblent confirmer ces pr�dictions th�oriques. En premi�re approximation, tout atome forme un dip�le �lectrique car il est compos� de protons de charge positive et d'�lectrons de charge n�gative. Les atomes agissent �lectriquement les uns par rapport aux autres � travers diff�rentes interactions, trop complexes pour �tre expliqu�es ici. Il s'agit des interactions �lectrocin�tique, coulombienne et de la force de Van der Waals.
Imaginons des atomes en interaction, ils �changent sous forme d'�nergie des informations sur leurs �tats quantiques et finissent par osciller � une fr�quence commune. Leurs �tats quantiques sont en quelque sorte synchrones. On dit de ce syst�me d'atomes qu'il est dans un �tat quantique coh�rent. Suivant le principe de moindre action, nos dip�les (par nature tr�s paresseux!) tendront � minimiser leur �nergie collective en empruntant l'�nergie �lectromagn�tique virtuelle, n�cessaire � leur coh�rence, aux fluctuations du vide quantique. Cette interaction entre atomes est attractive car l'�change entre le vide et les atomes induit une coh�rence attractive. En apportant de l'�nergie au syst�me on augmente sa temp�rature, c'est � dire que les �tats coh�rents sont aliment�s par de l'�nergie r�elle et non plus par l'�nergie virtuelle du vide. L'effet de coh�rence induit devient partiellement r�pulsif, r�duisant proportionnellement la masse gravitationnelle des dip�les. Quand il y a autant de dip�les dans l'�tat fondamental que de dip�les excit�s (temp�rature statistique tendant vers l'infini), les masses gravitationnelles induites s'annulent.
Imaginons qu'un atome actif de temp�rature n�gative (au sens quantique du terme), entour� d'atomes passifs, �mette un rayonnement � la fr�quence fondamentale du syst�me. La mise en coh�rence d'autres atomes avec lui ne r�duit plus l'�nergie collective mais entra�ne un �tat r�pulsif de l'atome actif. Le dip�le actif est en antigravit�, sa masse gravitationnelle �tant inverse. L'�change de photons r�els entre cet atome et le syst�me met l'ensemble des dip�les en coh�rence d'�tat, donc en inversion du signe de masse. Il y a donc bien �quivalence entre le signe de la temp�rature inverse et le signe de la masse, comme pr�dit par Stueckelberg.
A notre �chelle macroscopique, deux exp�riences semblent confirmer cet effet. Il s'agit respectivement du syst�me H du physicien Br�silien Fran De Aquino et de l'effet Hutchinson. Dans le syst�me H, une antenne �met une onde �lectromagn�tique � tr�s basse fr�quence (10mHz) dans une enceinte �lectromagn�tiquement confin�e, � tr�s haute perm�abilit� et � tr�s haute permittivit� (c'est � dire � conductivit� �lev�e). Cela ralentit la vitesse des photons dans l'enceinte.
Ainsi que le pr�dit la m�canique quantique, ces photons lents ne sont plus localis�s � l'enceinte, leur onde �vanescente s'�tendant sur plusieurs centaines de milliers de kilom�tres. L'onde �vanescente de ces photons est absorb�e et r��mise par la terre (effet tunnel), y cr�ant des �tats coh�rents induits par l'antenne de l'enceinte. La masse gravitationnelle varie alors en fonction des photons �mis et r�absorb�s par la terre dans l'onde �vanescente de l'antenne.
De Aquino a r�ussi � inverser le poids d'une boule de fer de 60Kg avec une �nergie de quelques centaines de Watts. L'effet Hutchinson est obtenu en cr�ant des ondes stationnaires puls�es avec deux faisceaux �lectromagn�tiques convergeant sur une boule m�tallique. La photo montre une boule de 35kg en antigravit� par effet Hutchinson. Ces dispositifs sont limit�s par la difficult� � g�n�rer et amplifier des ondes �vanescentes, dont la d�croissance avec la distance est exponentielle, contrairement aux ondes propagatives classiques. De nouvelles antennes planaires � indice de r�fraction n�gatif devraient supprimer ce probl�me dans un proche avenir.
Antigravit� en relativit� g�n�rale:
La relativit� g�n�rale d'Einstein (publi�e en 1915) d�crit les relations entre l'espace-temps et la distribution (ainsi que les mouvements) de la mati�re et de l'�nergie. En relativit� g�n�rale, l'espace-temps est d�form� (courb�) par la mati�re et l'�nergie qu'il contient. L'espace-temps formant une surface � quatre dimensions (trois d'espace et une de temps) les points de cette surface sont d�crits par des coefficients qui sont des fonctions des points consid�r�s. Ils forment ce qu'on appelle la "m�trique" de l'espace-temps.
Afin d'unifier l'�lectromagn�tisme et la gravitation, ce que la relativit� g�n�rale d'Einstein n'avait pas fait, plusieurs th�oriciens ont tent� de compl�ter celle-ci. Ils ont propos�, soit l'ajout d'une cinqui�me dimension (connexion et vecteur de jauge, Cartan-Weyl-Kaluza-Marquet), soit le changement d'un coefficient (Einstein), soit le passage � une m�trique � deux composantes, sym�trique et antisym�trique (fonctions complexes � valeurs r�elle et imaginaire, Lichnerowicz-Schr�dinger).
Alors que la relativit� g�n�rale classique ne d�crit qu'une gravitation monopolaire positive (la gravit� attire mais ne peut pas repousser), deux th�ories relativistes r�centes pr�disent l'existence de dip�les gravitationnels (un p�le gravitationnel attractif et un p�le r�pulsif).
Il s'agit respectivement du mod�le d'univers g�mellaires de Jean-Pierre Petit (utilisant le groupe de Petit) et du mod�le de Eugene Jeong d�riv� de la m�trique d'Alcubierre.
Ce dernier semble d�crire correctement les exp�riences d'antigravit� de Majorana, Searl, Hamel, Carr, Gulick et Jeong.
Pour comprendre le mod�le de Jeong imaginons une demi sph�re pos�e sur sa base �quatoriale, son centre de masse �tant � mi-hauteur. Mise en rotation dans un rep�re immobile, sa masse relativiste monopolaire augmente en approchant de l'�quateur o� la vitesse est maximale. La rotation augmente la masse effective et d�place son centre vers le bas, cr�ant une force de pouss�e dans cette direction. Le sommet de la demi sph�re tournant plus lentement que l'�quateur, il courbe l'espace-temps en dilatant l'espace et en contractant le temps. La force r�pulsive (dite de Lens-Thirring) sur l'�quateur g�n�re une masse virtuelle n�gative sur l'axe central de la demi- sph�re. La masse positive du sommet de la demi- sph�re s'�chappe vers le haut avec la masse virtuelle n�gative centrale qui "chute" dans la m�me direction. L'acc�l�ration de ce couple de masses dipolaire annule tout gain d'�nergie cin�tique, c'est � dire l'inertie. Le reste des masses dans l'univers induisant un d�centrage de la force centrifuge par rapport au centre de masse statique, elles cr�ent une acc�l�ration suppl�mentaire sans r�action (sans inertie), c'est � dire qu'elles annulent la troisi�me loi de Newton.
Sur la premi�re figure, deux zones n�gativement courb�es apparaissent de part et d'autre d'une sph�re compl�te. Elles figurent sur les deux "pics " de la seconde illustration en perspective. Les deux "trous" repr�sentent les puits de potentiel, voisins des p�les, o� la masse tend � tomber. Les deux dip�les gravitationnels forment un quadrip�le annulant toute acc�l�ration. Dans le cas d'une demi sph�re, la disparition d'un des dip�les permet l'acc�l�ration, donc l'antigravit�.
Pour que ces effets soient significatifs la vitesse de rotation doit approcher la vitesse de la lumi�re. Dans la pratique, la demi sph�re macroscopique sera remplac�e par des mol�cules m�soscopiques ou des atomes microscopiques en rotation sur des axes parall�les. De tels rotors peuvent �tre cr��s avec des dip�les mol�culaires dans un plasma, un gaz ou un liquide. Dans un solide on mettra en co-rotation spinale des atomes �lectro-rotationnels, c'est � dire des atomes comprenant un nombre impair de protons et un nombre pair de neutrons.
Maintenant qu'on vous dise que �a n'existe pas ... c'est de la mauvaise foi. |
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