EHD, EMHD, MHD, Transformateurs synergetiques

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Ici seront les explications simplifi�s de la MHD, de la EMHD, de l'EHD, et des trasnformateurs a flux quantique du vide vous permettant de comprendre les articles que je vous est mis avec l'accord de l'auteur Jean Marc Roeder qui est un ami qui m'est tres proche.

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L'EHD

L'�lectrohydrodynamique ou EHD fut d�couverte par l'ing�nieur am�ricain Townsend Brown dans les ann�es 20. Si l'on fait circuler un courant � tr�s haute tension, de quelques milliers � quelques millions de volts, dans deux fils conducteurs espac�s et parall�les, il se cr�e entre le fil de polarit� �lectrique positive et le fil de polarit� �lectrique n�gative un flux d'�lectrons. L'air isolant s�parant les deux fils devient conducteur de l'�lectricit� en accumulant des charges �lectriques lors du passage du courant dans les fils. On dit de cet air devenu conducteur de l'�lectricit� qu'il est ionis� et forme un plasma conducteur. L'air ionis� est acc�l�r� par les forces �lectriques du fil de polarit� positive vers le fil de polarit� n�gative cr�ant ainsi une force de propulsion. Les deux fils peuvent �tre remplac�s, respectivement, par une surface charg�e n�gativement (le fuselage de l'avion par exemple) et une boule de plasma � l'avant de l'avion, charg�e positivement, g�n�r�e par un canon � protons. Les protons sont des composants du noyau atomique de polarit� positive alors que les �lectrons, autres composants de l'atome, ont une polarit� n�gative. La diff�rence de potentiel �lectrique (la tension) entre la boule de plasma et le fuselage de l'avion acc�l�re l'air suivant une direction allant de la boule de plasma au fuselage. On dispose ainsi d'un propulseur purement �lectrique et sans carburant (� condition de disposer de grandes quantit�s d'�lectricit�)! L'EHD n'est r�ellement int�ressante qu'a des vitesses inf�rieures � Mach 4 et ne fonctionne plus en dessous d'une pression atmosph�rique de 13 millibars (40 Km d'altitude).

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La MHD

La magn�tohydrodynamique, ou MHD, a �t� d�couverte au 18eme si�cle par le physicien Anglais Michael Faraday. Imaginons de l'air conducteur de l'�lectricit� circulant � la surface d'un acc�l�rateur MHD, il est travers� verticalement par un champ magn�tique. Ce champ magn�tique est g�n�r� par un �lectro-aimant compos� d'un enroulement de fil supraconducteur dans lequel circule un courant �lectrique. L'intensit� du champ magn�tique est proportionnelle � l'intensit� du courant �lectrique dans la bobine supraconductrice. Deux �lectrodes, compos�es de deux supraconducteurs, sont plac�es au dessus de l'�lectro-aimant. En se combinant avec le champ magn�tique B, le courant �lectrique I des �lectrodes va produire une force de Lorentz Laplace FL perpendiculaire � I et � B. La direction de cette force d�pend du sens du courant �lectrique circulant dans les �lectrodes et dans l'�lectro-aimant. La MHD ne peut �tre utilis�e qu'� tr�s haute altitude (plus de 40 Km) o� l'air est suffisamment rar�fi� pour �tre ionis� avec une �nergie raisonnable. Le principal avantage de la MHD est de permettre une acc�l�ration de l'air tr�s sup�rieure � celle que permet l'EHD.

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L'EMHD

L'EHD et la MHD ne peuvent fonctionner que si l'air que l'on souhaite acc�l�rer est totalement conducteur de l'�lectricit�, ce qui impose la consommation d'une quantit� gigantesque d'�nergie �lectrique rien que pour le rendre conducteur (le ioniser). Une fois l'air ionis�, il faudra utiliser une quantit� d'�nergie �lectrique suppl�mentaire, tout aussi gigantesque, pour l'acc�l�rer. L'EHD et la MHD pr�sentent toutefois l'avantage d'�tre techniquement relativement simples. L'�lectromagn�tohydrodynamique, ou EMHD, requiert beaucoup moins d'�nergie mais entra�ne en retour une extr�me complexit� du propulseur. L'air est compos� de plusieurs gaz, essentiellement de l'oxyg�ne et de l'azote, �troitement m�lang�s. Chacun des gaz composant l'air est fait de mol�cules sp�cifiques, elles-m�mes compos�es d'un assemblage d'atomes. Ces mol�cules peuvent avoir une charge �lectrique positive, n�gative ou neutre. Imaginez que vous puissiez mettre en rotation, autour d'un centre commun, une mol�cule de charge n�gative et une mol�cule de charge positive. Les deux mol�cules occupent des positions oppos�es sur leur orbite autour du centre de rotation. Vous avez cr�� un dip�le mol�culaire (deux p�les oppos�s). Cette rotation induit un champ magn�tique B perpendiculaire au plan de rotation et une force de Lorentz FL de sens et de direction constants, dans le plan de rotation. Ces dip�les en rotation peuvent �tre cr��s par deux faisceaux d'ondes radio. Le premier faisceau, �mettant des ondes � tr�s haute fr�quence (longueur d'onde ultracourte) excite le gaz par r�sonance nucl�aire. Cela fournit aux atomes une �nergie qui augmente plus de cent fois leur diam�tre. L'excitation d'un gaz, compos� de tels atomes, et son acc�l�ration demande une �nergie de deux ordres de grandeur plus faible que pour le convertir en plasma ionis�. Un deuxi�me faisceau, circulairement polaris�, permet de contr�ler l'acc�l�ration de l'air dans des directions quelconques. Ces faisceaux radio permettent aussi de cr�er des ondes stationnaires, � condition de disposer d'un miroir r�fl�chissant les ondes. Un tel miroir peut �tre indiff�remment une nappe de plasma cr��e dans l'air par un premier faisceau ou le sol. Les ondes r�fl�chies par le miroir reviennent alors vers leur source (l'antenne d'�mission) et forment des ondes stationnaires avec les ondes incidentes qu'elles rencontrent. Pour comprendre ce qu'est un syst�me d'ondes stationnaires il suffit d'imaginer deux voitures se touchant face-�-face et essayant d'avancer avec la m�me force, il est �vident que tout en roulant elles feront du surplace chaque voiture offrant une force inverse � celle de l'autre. Il en est de m�me avec les ondes radio dont les mouvements inverses "annulent" en quelque sorte le mouvement apparent, les rendant ainsi stationnaires dans l'espace alors qu'elles sont en mouvement. Ces ondes stationnaires permettent de cr�er, � n'importe quelle distance entre l'avion et le miroir, des zones de surpression ou de d�pression d'air ainsi que des d�placements � vitesse quelconque de celui-ci. L'EMHD permet donc de sustenter et de propulser un avion avec des ondes radio! L'EMHD peut fonctionner dans le vide, en utilisant l'atmosph�re ou le sol d'une plan�te comme miroir, mais exige alors des �nergies de plusieurs ordres de grandeurs sup�rieures. Dans ce cas, en effet, seule la pouss�e des ondes radio stationnaires vous propulsera, et non plus le d�placement d'une masse de gaz.

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Transformateur de flux � �nergie quantique du vide

La m�canique quantique (physique atomique) comme la relativit� g�n�rale d'Einstein (physique cosmologique) admettent que le vide est le si�ge d'une �nergie gigantesque mais inutilisable. En 1969, le physicien fran�ais Ren� Louis Vall�e a d�montr� (th�orie synerg�tique) qu'il �tait possible d'extraire cette �nergie et l'a prouv� exp�rimentalement en 1974. Depuis, la relativit� g�n�rale antisym�trique, avec ses propres outils, a d�montr� de mani�re irr�futable la m�me chose en unifiant la gravitation et l'�lectromagn�tisme. Dans les ann�es 70, le physicien am�ricain Bruce De Palma r�alisa un syst�me tr�s simple de "pompage" de l'�nergie quantique du vide, baptis� "transformateur de flux", en utilisant un aimant rotatif en mat�riau conducteur de l'�lectricit�. Bruce De Palma d�crit ainsi le principe du syst�me :" Voici un morceau de m�tal dans le fluide �nerg�tique. Si je le fais tourner, je peux cr�er en lui, les conditions d'une polarisation ce qui signifie que l'ext�rieur de l'objet est en mouvement, et pas le centre. C'est ce que j'appelle le point neutre, le centre est positif et l'ext�rieur n�gatif. Quand l'�nergie de l'espace traverse ce morceau de m�tal, il est charg� en n�gatif, au contact du bord ext�rieur en mouvement et positif au centre. La d�couverte a une base simple, � savoir qu'un disque en rotation dans un champ magn�tique produit de l'�lectricit� que l'on peut extraire simplement avec un contact au centre, et un sur le bord ext�rieur en mouvement...A partir du flux d'�nergie quantique du vide, le mat�riau magn�tique choisit les oscillations sp�cifiques que nous nommons magn�tisme. Le flux de cette �nergie libre dans l'espace est en m�me temps la source fondamentale de toutes les autres �nergies, telles l'�lectricit�, la gravitation, les forces nucl�aires et atomiques, etc.". On conna�t depuis 150 ans le principe de fonctionnement des transformateurs de flux d'�nergie quantique du vide, c'est celui du disque de Faraday ou du g�n�rateur unipolaire connu, lui depuis 70 ans. Si on fait tourner tr�s vite un anneau magn�tique on peut tirer un courant �lectrique (de charge positive) de la p�riph�rie externe de l'anneau. Ce qui est nouveau, c'est que l'�nergie produite par de tels aimants peut devenir sup�rieure � celle n�cessaire � leur fonctionnement (40 fois l'�nergie de rotation). On atteint cette mesure � 8000 tours par minute. Il est important de noter que le courant de sortie augmente plus rapidement que celui du moteur. De plus, la r�sistance n'augmente pas m�me si on tire un courant suppl�mentaire qui a une tr�s basse tension et un amp�rage tr�s �lev�. Pour se lib�rer des contraintes m�caniques et produire de tr�s hautes �nergies avec des rendements surunitaires de plusieurs milliers de fois, l'arm�e am�ricaine a mis au point, depuis les ann�es 80, des g�n�rateurs De Palma mettant en rotation un plasma au lieu d'un aimant. Dans une enceinte isolante ferm�e, cylindrique ou sph�rique, un gaz de vapeur de mercure conductrice de l'�lectricit� est mis en rotation par des champs �lectriques. Des �lectrodes, compos�es d'un mince film de diamant supraconducteur, sont plac�es aux quatre points cardinaux de l'enceinte. Chaque �lectrode d'une polarit� fait face � une �lectrode oppos�e de polarit� inverse. Les �lectrodes sont deux � deux soumises en alternance � un courant haute tension de tr�s haute fr�quence en quadrature de phase. Cette fr�quence varie au fur et � mesure que le plasma de mercure se charge d'�lectricit� de mani�re � rester � la fr�quence de r�sonance des atomes de mercure. Une tornade de plasma en boule se forme progressivement, en s'ionisant toujours plus, jusqu'� atteindre un �tat d'�quilibre appel� aussi plasma auto confin�. Le plasma auto confin� g�n�re alors un puissant champ magn�tique perpendiculaire au plan de rotation. On a ainsi cr�� un aimant tournant extr�mement puissant. Les �lectrons g�n�r�s par le plasma � partir de l'�nergie quantique du vide sont r�cup�r�s par un deuxi�me jeu d'�lectrodes plac�es dans l'enceinte. Il est �ventuellement possible de r�cup�rer par induction magn�tique du courant suppl�mentaire � partir du champ magn�tique g�n�r� par le plasma � l'aide de bobines plac�es au-dessus et en dessous de l'enceinte. Sans que l'on dispose de chiffres pr�cis, il est probable que ces g�n�rateurs ultrasecrets de l'arm�e am�ricaine sont capables de produire 100 � 200 m�gawatts, voir plus, d'�nergie �lectrique.