Coucou les "Autres Gentils" !
Ici c'est "une autre" pas très gentille d'être partie sans rien dire qui revient vers vous.
C'est que voyez-vous, c'est une sorte d'habitude prise ici, partir sans dire au revoir ; ne pas trop s'appesantir sur ce qui gène et ne plus donner, ni recevoir forcément, de nouvelles fraîches.
Faut dire que j'ai horreur de dire au revoir, alors que c'est un rengaine hebdomadaire... choisie dans ma vie.
Dire au revoir par pure politesse, bien policée sur la forme, alors que dans le fond je m'échappe, a au moins "l'avantage" bien relatif en "coût énergétique", de m'éviter d'écluser...
Heureusement pas toujours !
Alors patron, une tournée !
Merci pour cet édito "de la
compréhension" de l'autre, qui offre une jolie opportunité de retour sur soi.
La première lecture met ici en évidence la nécessité pour comprendre l'autre, d'être aussi au centre de Soi que possible, pas le "je", l'égo, mais ce "point invisible pour les yeux" qui fait contact permanent avec Tout.
Ce qui me fait dire cela, c'est le constat des "dégâts" divers et variés qui se produisent lorsque ce n'est pas le cas, lorsque pour ainsi dire nous sommes "hors de soi".
Mais qu'est-ce qu'elle nous raconte ?
J'ai en stock mémoire, l'exemple de ce gars qui me parlait travail et dont j'entendais, au sens propre du terme, tout un autre discours en l'écoutant.
C'était si fort que j'en étais débousolée, désorientée et continuer le dialogue fut extrèmement difficile car je ne pouvais croire un mot de ce qu'il me disait, sûre que la version "cachée" était "sa" vérité...
Mais il ne s'en rendait pas compte.
Les deux discours étaient si différents et éloignés que j'ai préféré rester sur un banal "compromis" de faire avec ce qu'il disait au "1er degré", sentant que si cette "autre" vérité était ne serait-ce qu'évoquée, c'était "toute sa vision du monde" (celle exprimée) qui risquait de s'écrouler d'un seul mot !
Ce qui me semblait très risqué à faire, étant donné le personnage.
En synthèse comprendre l'autre par le mental et le coeur certes, pour autant tous les sens du corps et de l'Esprit sont à l'oeuvre et transmettent des informations capitales pour ce faire...
à toutes et tous
La Terre n'est pas un don de nos parents.
Ce sont nos enfants qui nous la prêtent.
Proverbe amérindien